Chaque jour comme le dernier
Corneille-Parce Qu'on Vient De Loin
Nous sommes nos propres pères.
Si jeunes et pourtant si vieux, ça me fait penser, tu sais.
Nous sommes nos propres mères.
Si jeunes et si sérieux, mais ça va changer.
On passe le temps, à faire des plans pour le lendemain.
Pendant que le beau temps, passe et nous laisse vide et incertain.
On perd trop de temps, à suer et s'écorcher mes mains.
A quoi ça sert si on n'est pas sûr de voir demain.
A rien.
Alors on vit, chaque jour comme le dernier
Et vous feriez pareille, si seulement vous saviez.
Combien de fois, la fin du monde nous a frôlé.
Alors on vit, chaque jour comme le dernier
Parce qu'on vient de loin
Quand les temps sont durs,
On se dit : "Pire, que notre histoire n'existe pas".
Et quand l'hiver perdure...
On se dit, simplement que la chaleur nous reviendra.
Et c'est facile comme ça.
Jour après jour,
On voit combien tout est éphèmère.
Alors même en amour,
J'aimerai chaque reine,
Comme si c'était la dernière.
L'air est trop lourd,
Quand on ne vit que de prières.
Moi je savoure chaque instant,
Bien avant, que s'éteigne la lumière.
Jour après jour,
On voit combien tout est éphèmère
Alors vivons pendant qu'on peut encore le faire
Mes chers
Viver cada dia como se fosse o último, não me parece má idéia
Nous sommes nos propres pères.
Si jeunes et pourtant si vieux, ça me fait penser, tu sais.
Nous sommes nos propres mères.
Si jeunes et si sérieux, mais ça va changer.
On passe le temps, à faire des plans pour le lendemain.
Pendant que le beau temps, passe et nous laisse vide et incertain.
On perd trop de temps, à suer et s'écorcher mes mains.
A quoi ça sert si on n'est pas sûr de voir demain.
A rien.
Alors on vit, chaque jour comme le dernier
Et vous feriez pareille, si seulement vous saviez.
Combien de fois, la fin du monde nous a frôlé.
Alors on vit, chaque jour comme le dernier
Parce qu'on vient de loin
Quand les temps sont durs,
On se dit : "Pire, que notre histoire n'existe pas".
Et quand l'hiver perdure...
On se dit, simplement que la chaleur nous reviendra.
Et c'est facile comme ça.
Jour après jour,
On voit combien tout est éphèmère.
Alors même en amour,
J'aimerai chaque reine,
Comme si c'était la dernière.
L'air est trop lourd,
Quand on ne vit que de prières.
Moi je savoure chaque instant,
Bien avant, que s'éteigne la lumière.
Jour après jour,
On voit combien tout est éphèmère
Alors vivons pendant qu'on peut encore le faire
Mes chers
Viver cada dia como se fosse o último, não me parece má idéia
1 Comments:
At 5:59 am, June 20, 2005, Isha.Net said…
muchas gracias, se oye muy bonito
saluditos
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